Identification du Projet
.Titre du Projet : MISE SUR PIEDS D’UN CENTRE CULTUREL DE REFERENCE EN REPUBLIQUE DU CAMEROUN
Dénomination : CENTRE CULTUREL & LINGUISTIQUE CHINO- CAMEROUNAIS
Abréviation : C2LC2 ; C2LC2 ; CCLCC ;
Slogan : La Culture au Service de l’Amitié Chine-Cameroun
Logo Officiel :
Domaines d’activité du projet :
l Promotion et Enseignement des Langues Sino-Camerounaises
l Mise en valeur des atouts culturels Sino-Africains (Arts, Danses, etc.)
l Développement de l’industrie culturelle locale (Cinéma, Audio-visuel)
l Formation et emploie des jeunes (Enseignement, Traduction, Cinématographie)
Porteur du Projet : Dr. TALING T. RODRIGUE
Contacts :
WhatsApp : +86 18867554809
E-mail : rodriguetaling@outlook.com ; 873271173@qq.com;
Site Web : www.c2lc2.com
PRÉSENTATION DE LA STRUCTURE:
Le C2LC2 est un instrument puissant, symbolisant l’union des femmes et des hommes de tous âges autour de la promotion et du développement conjoint de la culture chinoise et africaine en République du Cameroun et dans la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) en général. La CEEAC est un groupe de 11 États qui se sont réunis pour former une Communauté économique pour la promotion de la coopération économique régionale en Afrique centrale. Le C2LC2 s’inscrit dans une perspective à court, moyen et long terme, se fixant comme objectif de fournir des échanges efficaces, spécifiques, changeants et d’appropriation des cultures sino-africaines à travers ses valeurs fondamentales, et de promouvoir les aspects physiques, mentaux, psychologiques et bien-être social grâce à la pratique des langues, des arts et des divertissements traditionnels chinois et africains. Le mécanisme de base du C2LC2 peut être résumé dans les 3 étapes suivantes :
- Partage des connaissances et des expériences culturelles entre les peuples africains et chinois.
- Assistance et soutien de groupes ciblés pour la conscience individuelle et collective dans le contexte culturel de la Chine-Afrique en général, et de la Chine-Cameroun en particulier.
- Formation et apprentissage des compétences en matière de développement des arts locaux et de l’industrie culturelle.
Nos
Objectifs
Le C2LC2 vise principalement à:
- Fournir un enseignement théorique et pratique sur les langues et la culture chinoises et Locales;
- Renforcer et vulgariser la pratique des arts martiaux chinois et Africains, des danses traditionnelles locales et des sports culturels au Cameroun et en Afrique centrale;
- Promouvoir l’échange et le partage des arts et de la culture entre l’Afrique et la Chine à travers des films et des documentaires ;
- Établir et maintenir des partenariats avec les institutions culturelles chinoises, les organisations de médias ainsi que les ONG panafricaines.
OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
Le projet c2lc2 global comprend trois sections principales: une section linguistique, une section d'arts martiaux et une section de films. Chaque section avec sa caractéristique unique visant à atteindre un objectif spécifique:
La section linguistique
La langue est la feuille de route d’une culture, elle vous indique d’où viennent ses habitants et où ils vont.
La communication est au cœur de tous les contacts humains, et la langue est l’outil de base nécessaire à la communication de tous les humains. Dans le processus d’échanges culturels, la langue apparaît comme un outil puissant et incontournable qui rend possible les dialogues entre les peuples. Par conséquent, avoir une bonne connaissance des langues en jeu est d’une importance capitale. Par ailleurs, la langue n’est pas seulement un outil de communication, mais aussi une cristallisation culturelle car incarne en elle l’histoire et la culture du peuple l’a façonné sur des générations. Par conséquent, la coopération entre la Chine et l’Afrique ne peut être séparée de la vulgarisation des langues. À l’heure actuelle, de plus en plus de pays d’Afrique ont non seulement commencé à prêter attention à leurs propres langues locales, mais ont également progressivement intégré de nouvelles langues étrangères telles que la langue chinoise dans leurs programmes scolaires. À cet égard, l’augmentation progressive des établissements d’enseignement chinois tels que l’Institut Confucius a contribué à la coopération culturelle sino-africaine. Sur cette base, il est important d’inclure une composante linguistique et d’étendre son champ d’application aux langues locales dans notre nouvelle stratégie de coopération. Ainsi, contrairement aux institutions formelles d’enseignement des langues, la composante linguistique du C2LC2 englobera à la fois le chinois et les langues locales pour les besoins de développement des talents locaux et d’adaptation aux marchés locaux et internationaux. Dans le contexte sino-camerounais, les langues officielles du Cameroun (anglais / français) et certains dialectes les plus parlés et écrits du Cameroun ainsi que le chinois mandarin (langue officielle de la Chine) sont les principales langues ciblées. Les principaux objectifs de cette section linguistique seront atteints grâce à :
- L’enseignement de la langue chinoise.
- Le Chinois parlé.
Le peuple Chinois représente à lui seul plus de 20% de la population mondiale, ce qui fait de la langue Chinoise la langue la plus parlée en termes de population. Avec l’ouverture de la Chine et l’expansion de la population Chinoise actuelle, il n’est plus étonnant au quotidien des Africains de croiser des Chinois à longueur de journée. La chine par ailleurs est devenu un partenaires économiques essentielle des pays Africains et la première source de fonds d’investissement étranger sur le continent devant les USA et l’Union Européenne. La langue Chinoise de plus en plus s’impose comme une langue des affaires par excellence, mais aussi comme une langue de diplomatie avec le pays de MAO ZETONG. En effet, les barrières linguistiques doivent absolument être brisée entre les ingénieurs locaux et de nombreux chinois présents en Afrique pour la réalisation de projets infrastructurels et de développement d’une part, et aussi entre chinois et de nombreux Africains qui s’y rendent en chine pour du business, des études ou même du tourisme d’autre part. Parler couramment Chinois est donc sans doute un avantage considérable pour notre jeunesse entreprenante et conquérante.
- Le Chinois écrit (sinogrammes)
Les caractères chinois (ou sinogrammes) sont des unités d’écritures logographiques de la langue chinoise. Leur utilisation s’étend sur une vaste zone géographique ; Les caractères chinois forment le système d’écriture le plus ancien qui soit resté en usage continu. En raison de leur utilisation répandue en Chine et au Japon, et par l’utilisation historique qui a été faite dans la sphère sino, les caractères chinois sont présentés comme le deuxième système d’écriture le plus peuplé au monde, derrière l’alphabet latin, et avant tout autre système non-alphabétiques. Aujourd’hui, les relations entre la Chine et l’Afrique sont entrées dans un âge d’or, la mise en place d’un système éducatif de caractères chinois dans la sous-région africaine implique l’enseignement de la langue chinoise elle-même; qui permettra au peuple africain d’acquérir une grande quantité de connaissances technologiques et de transfert de compétences de la Chine à travers sa langue, et renforcera également les communications et les liens interculturels ainsi que les relations d’affaires entre la République populaire de Chine et l’ECCASS.
2. L’enseignement des langues camerounaises
- Dans un Contexte Global
Dans ce monde global de multiculturalisme, il est important, lors de l’adoption de nouvelles cultures, d’être bien ancré dans sa propre culture. De plus, la communication entre les nations est fondamentalement une action bidirectionnelle qui devrait viser à améliorer l’apprentissage mutuel et le co-développement des cultures qui se rapprochent. De nos jours, on estime que plus de 130 millions de Chinois résident en Afrique, ils viennent pour de multiples raisons. Que ce soit pour le commerce, les affaires, le tourisme ou pour les échanges culturels, le programme d’éducation, etc. Ils auront une meilleure compréhension de l’Afrique, s’adapteront et intégreront mieux le milieu africain s’ils ont une certaine connaissance des Langues officielles et locales africaines. Certaines langues africaines populaires telles que le Swahili et l’Haoussa ont été largement adoptées par la communauté chinoise et actuellement étudiées dans certaines institutions chinoises en Chine.
- Dans un Contexte National
*LE FUFULDE EST LA LANGUE LA PLUS PARLÉE AU CAMEROUN, SUIVI DU BETI-FANG, PUIS DU YEMBA(Dschang), DU GHOMALA(Nkoung-khi), DU BASSAA, DU MEDUMBA(Nde) ET DU SHUPAMUM(Bamoun). * (Février 2018)
Avec plus de 5 millions de locuteurs rencontrés dans les trois régions septentrionales (Adamaoua, Nord et Extrême-Nord), le fulfuldé est la langue nationale la plus parlée au Cameroun, révèle une étude du ministère de l’Education de Base à l’occasion des festivités de la 12e journée internationale de la langue maternelle lancées à Yaoundé. Selon un ethnologue (Grimes, 2000) cité par l’étude, le Cameroun totalise 287 langues nationales parmi lesquelles une vingtaine classées comme étant majoritaires par rapport à une base d’au moins 60.000 locuteurs. Après le Fulfuldé, le Béti fang est la deuxième langue de ce classement avec 2 millions de locuteurs, répartis dans les régions du Centre et du Sud. A la troisième place, le Yemba dans l’Ouest est crédité de 300. 000 locuteurs, suivi dans cette même région du Ghomala (260.000 locuteurs), du bassa’a (230.000 locuteurs) dans le Centre, le medumba (210.000 locuteurs) puis le shupamum (200.000 locuteurs). Avec 63.000 locuteurs déclarés, l’arabe ( Extrême-Nord) occupe la dernière loge de ce tableau de 18 langues. D’après le ministère de l’Education de Base, « toutes ces langues (majoritaires) sont normalisées. Elles ont fait l’objet de descriptions linguistiques et disposent d’un système d’écriture conforme à l’alphabet général des langues camerounaises » dans un pays où, héritage colonial oblige, le français et l’anglais sont plutôt les deux langues officielles. « Elles [ces langues nationales citées plus haut] sont utilisées comme langues d’enseignement dans le système formel et/ou non formel. Elles ne sont pas cependant les seules langues nationales camerounaises utilisées dans l’enseignement. Certaines langues minoritaires en termes de locuteurs ont pu, grâce au concours des missionnaires et des ONG, être développées et sont aussi utilisées dans l’enseignement formel (expérimental) et non formel », précise-t-on par ailleurs.
En vue de la généralisation de l’enseignement des différentes langues, le département des langues africaines et linguistique de l’Université de Yaoundé I se prévaut d’une expérience de deux décennies de recherches théoriques et d’applications pratiques à travers le Projet de recherche opérationnelle pour l’enseignement des langues au Cameroun (PROPELCA). Une autre initiative parallèle menée par l’Association nationale des comités de langues au Cameroun (ANACLAC), qui regroupe en son sein 78 « académies » des langues camerounaises avec un centre de linguistique appliquée, a permis la formation de 3.000 maîtres pour l’enseignement bilingue (langues officielles-langues nationales) et 60 superviseurs locaux d’alphabétisation. Avec également comme réalisation depuis sa création en 1987, 188 titres dans la collection PROPELCA dans le cadre de la production de matériel didactique, cette organisation de la société civile développe avec les universités de Yaoundé I, d’Addis-Abeba en Ethiopie et de Cape Town en Afrique du Sud un programme universitaire. Mais en dépit de ces actions, la marginalisation des activités de développement et de promotion des langues nationales restent une des tares sociales au Cameroun, a déploré le Pr. Gabriel Mba, enseignant à l’Université de Yaoundé I. »
Dans le contexte Camerounais, certaines langues camerounaises les plus parlées telles que le Gwomala’a, le Fulfulde, le Beti-Fang, etc. et les systèmes écrits tels que les scripts Djoya seront vulgarisés au niveau primaire du projet C2LC2. Cela sera ensuite étendu à la plupart des langues parlées dans la région ECCASS telles que le Lingala, le Swahili, etc.
3- Formation en traduction-Interpretariat
Avec l’essor de la coopération Chine-Afrique, des milliers d’entreprises chinoises se sont installées dans les pays africains (estimées à plus de 3000), fournissant des biens, des services et des formations pour le bien-être des Africains. Mais la langue est devenue le premier obstacle à la fois au transfert de connaissances et à la qualité des services fournis par les partenaires chinois. Dans le secteur du tourisme par exemple, les beautés et merveilles de la culture africaine et des ressources touristiques seront mieux commercialisées sur un marché de consommation chinois en pleine croissance si le problème de la langue est correctement résolu. Dans le domaine de l’éducation, la langue chinoise a déjà été introduite dans les programmes scolaires de nombreux pays africains en tant que cours choisi ou obligatoire, mais seuls quelques établissements offrent une formation appropriée aux enseignants locaux. Cela a entraîné un énorme écart entre la demande et l’offre, se terminant par un manque de talents linguistiques et de traducteurs compétents qui sont les plus nécessaires pour faciliter la mise en œuvre de plusieurs projets de développement résultant de la coopération Chine-Afrique.
Pour répondre à certains de ces besoins urgents, le C2LC2 proposera des programmes de formation ciblés à court, moyen et long terme, travaillera en étroite collaboration avec des institutions locales et chinoises spécialisées dans le domaine de la communication et de la traduction des différentes langues en jeu. Dans ce même contexte, des partenaires et volontaires Chinois seront invités périodiquement par le C2LC2 pour la formation accélérée des formateurs.
La section des arts martiaux et des sports traditionnels
Le corps et l’esprit de l’artiste martial est le vecteur de la culture qui lui-même est ancrée dans l’art.
Les arts martiaux sont la cristallisation d’un développement réfléchi de la culture du corps. Il ne fait aucun doute que le Kungfu chinois en Afrique a influencé de nombreux jeunes à travers de merveilleux films de Kung-Fu chinois menés par des stars bien connues du Kung-Fu telles que Bruce Lee, Jackie Chan, Jet Li. Cependant, les films n’étaient qu’un catalyseur qui ouvrait la porte à une culture d’arts martiaux de longue date enracinée dans la philosophie chinoise fondamentale telle que le taoïsme, le confucianisme et le bouddhisme. Les arts martiaux chinois sont un creuset de l’histoire de l’adaptation du peuple chinois au cours de son développement. Pendant ce temps, l’Afrique, berceau de l’humanité, a été témoin de la première bataille de l’humanité pour la survie. Au cours du processus de civilisation, la société africaine a connu la montée et la chute d’innombrables systèmes martiaux et traditions de combat. Certains d’entre eux, encore pratiqués aujourd’hui, sont des piliers de la culture du corps africain pleinement exprimés dans les rites traditionnels et les cérémonies d’initiation. Certaines de ces traditions encore en pratique dans certaines sociétés africaines sont des systèmes codés qui contiennent beaucoup d’informations sur un passé historique des peuples africains.
Dans une certaine mesure, la composante arts martiaux peut compenser la barrière de la langue et approfondir la compréhension des gens. Dans cette section, des artistes martiaux et des talents des deux côtés (Chine-ECCASS) seront rassemblés et formés. Différents styles d’arts martiaux et de danses traditionnelles seront enseignés. (Il est à noter que le centre forme actuellement plus d’une centaine de jeunes dans le domaine particulier des arts martiaux). Ces artistes martiaux sont également des talents potentiels pour des films locaux et des performances à de multiples occasions où l’amitié Chine-Afrique est célébrée.
La section cinématographie
Le Cinéma est la vitrine numérique des échanges culturels Sino-Africains
En tant que média culturel le plus populaire, le cinéma peut effectivement accélérer les échanges culturels entre la Chine et l’Afrique. Le public africain connaît déjà les films chinois depuis les années 1970. Le Kung-Fu a été l’un des mots clés et les principaux futurs des films chinois. Cependant, de nombreux films africains ou étrangers sur l’Afrique se sont principalement concentrés sur des documentaires sur la nature et la géo-écologie de l’Afrique plutôt que sur les histoires de dynamisme et de créativité de ses habitants. Les films d’action aux styles africains n’ont pas été très populaires dans l’industrie cinématographique africaine. Et beaucoup de ces films sont assez absents du marché cinématographique chinois, les plus populaires tels que , etc. sont de fabrication occidentale et ne peuvent pas représenter le récit de l’Afrique tel que vécu par les Africains. Ainsi, les Chinois ont un espace et une sélection très limités pour comprendre l’Afrique à travers les films. Parallèlement, dans les pays africains, malgré l’augmentation de l’offre de films chinois ces dernières années sur le marché du cinéma africain, la qualité reste loin de répondre aux besoins des populations.
La «génération I» de jeunes Africains en pleine croissance semble plus intéressée par les films qui expriment la culture à travers les langages corporels et les actions créatives. À cet égard, «les films sino-africains de Kungfu» semble être la meilleure réponse.
Malgré l’affichage et l’exposition de films locaux et chinois, le C2LC2 se concentrera sur la production et la promotion de nouveaux styles de films d’action (mettant en avant les cultures d’arts martiaux et les traditions de combat de la Chine et de l’Afrique) ainsi que des documentaires et des histoires quotidiennes entre Africains. et chinois.
Les arts martiaux doivent être utilisés comme point d’intérêt et l’apprentissage des compétences de base pour mettre en place la section des films d’action; de ce point de vue, les films de Kungfu joueront un rôle vital dans l’échange culturel sino-africain. En bref, l’initiative «Sino-African Kungfu Movies» visant à apporter une nouvelle approche et plus de créativité aux échanges culturels sino-africains et à la coopération cinématographique. Cependant, la pénurie de capitaux, le manque d’infrastructures et d’expertise seront parmi les difficultés les plus difficiles à surmonter.
SITUATION GÉOGRAPHIQUE DU PROJET C2LC2
Le présent projet bien que mis en œuvre au Cameroun , dans son stade embryonnaire actuel de développement, a l’ambition et la vision d’être une initiative sous-régionale visant à renforcer les liens culturels et économiques entre les pays des sous-régions (ECCASS) d’une part, et entre la sous-région et la Chine qui est déjà devenue le premier partenaire économique de l’ECCASS.
La Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) est un groupe de 11 États qui se sont réunis pour former une Communauté économique de l’Union africaine pour la promotion de la coopération économique régionale en Afrique centrale. La Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) est Elle «vise à parvenir à l’autonomie collective, à relever le niveau de vie de ses populations et à maintenir la stabilité économique grâce à une coopération harmonieuse».
Le Cameroun au Centre du C2LC2
Géostrategiquement
- Le Cameroun est un pays leader de la région et se connecte facilement avec l'Afrique occidentale et centrale. en raison de sa position géo-stratégique unique et de ses diversités culturelles, est la base idéale pour un projet régional tel que le projet actuel.
- Bien que le C2LC2 soit souvent visité par des visiteurs internationaux et des touristes, ses activités culturelles sont limitées à l'aire géographique de la République du Cameroun. Tout en reconnaissant ses mérites de promouvoir la culture chinoise auprès de la population camerounaise, il reste encore un long chemin à parcourir pour vulgariser la culture chinoise dans la vie quotidienne des camerounais et la culture camerounaise auprès des Chinois vivant au Cameroun ou de ceux de Chine impatients. visiter ou faire des affaires au Cameroun.
Socio-Culturellement
- Les Camerounais admirent et restent captivés par ces rares documentaires et films d'arts martiaux chinois souvent diffusés sur les chaînes étrangères et parfois nationales; malgré l'absence d'une documentation complète sur la culture chinoise, beaucoup considèrent toujours Internet comme leur principale source pour en savoir plus sur la Chine et sa culture de longue date. De plus, de plus en plus de Chinois vivent et travaillent au Cameroun. On estime que plus de 10 000 Chinois résident au Cameroun principalement à des fins touristiques, éducatives ou commerciales. Ils sont confrontés à divers défis tels que la communication, les chocs culturels, les lois et réglementations locales, etc. qui sapent leurs activités. Et cette réalité regrettable est non seulement remarquable en République du Cameroun mais aussi dans toute la sous-région du Moyen-Afrique où les structures de représentation culturelle chinoise sont parfois inexistantes.
- Par conséquent, ce projet est conçu pour répondre aux attentes des différentes couches de la population du Cameroun, et par extension, celle de tous les pays d'Afrique centrale. De plus, compte tenu de la position croissante de la République populaire de Chine sur la scène mondiale, les domaines d'application de ce projet sont très pertinents et leurs impacts nombreux;
Notre Equipe
Une equipe de professionelle et d’amoureux de la Culture pour vous servir
SECTION ANNEXE DU PROJET
La section annexe du projet C2LC2 adjacente a la section principale ci-dessus détaillé est conçu pour procurer un meilleur divertissement et détente des adhérents et visiteurs autour des valeurs culturelles Sino-Africaines. Elle est constituée de 4 volets :
Salon de Thé
“From Chinese tea to Cameroonian coffee, friendships have been built around cultural drinks”.
L’espace “Salon de Thé” du C2LC2 est un espace de détentes dans lequel sera disponible en permanence du thé Chinois, du Café Camerounais et divers friandises culturelles pour le bien être des visiteurs.
Bibliothèque
“Une bibliothèque est un magasin inépuisable de vivres pour un esprit cultivé”
Le C2LC2 offrira au public qui souhaite se cultiver une Bibliothèque rassemblant une collection de livres, analectes et ouvrages célèbres sur la Chine, le Cameroun et l’Afrique ainsi que diverses documentations de culture et d’études. En particulier la bibliothèque sera fournie d’une documentation spécialisée sur l’étude des langues, arts et cinéma afin de booster l’enracinement du volet principal du présent projet.
Salle MultiMedia
“Adapter notre jeunesse aux Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication est le code magique qui permettra de relever le défi de l’éducation pour tous”.
La salle multimédia du C2LC2 sera équipé à fournir une documentation en ligne, un espace de e-learning et self-Learning nécessaire pour une auto-éducation et une meilleure adaptation dans notre village planétaire du 21eme siècle.
Mini-Musée
“La Chine et l’Afrique sont le berceau des civilisations anciennes, le Cameroun l’Afrique en miniature et berceau de la diversités culturelle Africaines dont les empreintes doivent être accessible dans un lieu de prédilection” tel un mini-musée.
Le Mini-Musée du C2LC2 est une Salle d’exposition d’objets d’arts, artéfacts, parcours, œuvres, photos de légendes, monuments, et autres sur la Chine, le Cameroun et l’Afrique en général.